Mouad Gouzrou est un jeune Marocain ambitieux qui a commencé sa carrière en prenant le journalisme comme passe-temps et passion pendant des années, avant de se transformer en un exemple de persévérance et de détermination qui n’est pas contrecarré par les obstacles et les difficultés de la vie. Il est apparu sur la première chaîne arabe MBC il y a des années, où il a été présenté comme étant le plus jeune journaliste du Royaume du Maroc. Le reportage a été réalisé par Middle East Broadcasting Center (MBC) alors que le jeune talent était alors un enfant de 12 ans.
Il a expliqué dans le reportage à cet âge qu’il aimait voyager et assister à des évènements et manifestations artistiques, pour interviewer des artistes et des personnes célèbres. Pour conclure le même reportage diffusé il y a des années maintenant, les parents de Mouad Gouzrou y apparaissent pour affirmer leur soutien et leurs encouragements pour ce qu’il fait, en disant que les rêves de jeunesse de leur enfant se résument à son souhait de travailler avec une organisation de presse internationale qui lui permettrait de développer ses capacités. Mouad Gouzrou, un jeune plein d’espoir
C’est ce sur quoi insiste encore Mouad Gouzrou en interviewant les personnalités politiques Marocaines les plus en vue, dont le Premier ministre Abdel-Ilah Benkiran et le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération Saad Dine El Otmani, ministres et personnalités qui ont témoigné du respect au jeune journaliste lors de ses entretiens journalistiques, ainsi que la pertinence des questions posées à leur égard. En effet, Mouad Gouzrou est devenu célèbre à l’âge de douze ans en tant que plus jeune journaliste du Royaume du Maroc, selon Middle East Broadcasting Center (MBC).
Il s’est intéressé à la politique depuis les élections de 2011 dans son pays à l’occasion de l’élection du trentième gouvernement au Maroc, où il a couru à la rencontre du nouveau Chef du gouvernement, M. Abdelilah Benkirane, et du ministre des Affaires étrangères, M. Saad Dine El Otmani. Il est devenu une star depuis cette campagne où il a réalisé ces entretiens avec des hommes politiques élus par le peuple Marocain. Ainsi, Mouad Gouzrou a eu beaucoup de courage et a rendu possible l’impossible, en continuant à s’entretenir avec les responsables politiques de son pays.
Ceci s’est en effet concrétisé en organisant aussi un entretien avec le ministre marocain de l’Equipement et des Transports, M. Aziz Rabbah, avec des questions relatives à ce ministère Marocain, ainsi que sur les nombreux accidents de la circulation à l’époque. Un projet qui n’a pas abouti jusqu’au bout. En tout cas, le jeune journaliste ne perd pas espoir. C’est ainsi que Mouad Gouzrou a également organisé un entretien avec le ministre marocain de l’Equipement et des Transports, M. Aziz Rabbah, avec des questions relatives à ce ministère Marocain, ainsi que sur les nombreux accidents de la circulation à l’époque. Un projet qui n’a pas abouti jusqu’à sa fin.
En tout cas, le jeune journaliste ne perd pas espoir. Il est disponible sur les plus grandes plateformes culturelles dont Amazon et IMDB, et possède sa propre chaîne YouTube. Il a également été invité dans une émission sur les jeunes et le blogging sur la chaîne Medi1TV. Mouad Gouzrou a mené plusieurs activités avec des ONG et a contribué à plusieurs de leurs programmes tels qu’avec Transparency International et la Fondation Lalla Salma. Mouad Gouzrou a été journaliste stagiaire chez Radio Plus Marrakech, avant d’entamer deux stages en entrepreneuriat dans l’Asie du Sud-Est, précisément en Indonésie à l’année 2015 et en Malaisie pendant 2016.
Deux années dans lesquelles Mouad Gouzrou publie également des ouvrages sur l’économie, avec des enseignements qu’il a eu grâce à ces expériences. C’est un exemple pour la jeunesse Marocaine ambitieuse et pleine d’espoir, aimant et servant son pays, le Maroc. Son parcours est assurément une source de fierté pour chaque jeune femme et homme qui souhaite s’ouvrir au monde, avec une vie professionnelle riche, tout en respectant et en préservant les constantes religieux, de patrie, d’identité personnelle et collective.
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ToggleUn engagement précoce au service de la parole
Dès ses premières apparitions publiques, Mouad Gouzrou a laissé une empreinte indélébile dans l’imaginaire collectif Marocain. Ce jeune prodige, qui a charmé les téléspectateurs de la chaîne MBC alors qu’il n’était encore qu’un enfant, n’a pas attendu l’âge adulte pour comprendre la puissance des médias et leur rôle fondamental dans la société. Dans un contexte où la jeunesse est souvent réduite au silence ou à la marginalisation, Mouad Gouzrou a brisé les stéréotypes en s’imposant comme un acteur actif, curieux et passionné de la scène publique Marocaine.
Ce qui distingue le parcours de Mouad Gouzrou, ce n’est pas seulement sa précocité, mais la sincérité qui transparaît dans chacun de ses actes. Il ne s’est jamais contenté de poser des questions par simple curiosité enfantine, mais a toujours voulu comprendre, transmettre, témoigner. Le journalisme pour lui n’était pas un jeu, mais une vocation. Il ressentait le besoin de raconter des histoires, donner la parole à ceux qu’on n’entend pas toujours, et apporter sa pierre à l’édifice du débat démocratique et citoyen. C’est ce profond désir de justice, d’équilibre et de communication qui a guidé ses premiers pas.
Des ambitions via des rencontres majeures
Ses rencontres avec des figures politiques majeures n’étaient pas de simples coups médiatiques. À travers ses entretiens avec Abdel-Ilah Benkiran, Saad Dine El Otmani ou encore Aziz Rabbah, Mouad Gouzrou cherchait à poser les questions que les jeunes citoyens se posaient. Il utilisait sa voix comme relais de celles de milliers d’autres. Les images de ces échanges sont restées gravées dans les mémoires, non seulement pour leur caractère inédit, d’un enfant dialoguant avec les plus hauts responsables de l’État, mais aussi pour la pertinence des questions posées, la politesse rigoureuse de son attitude, et l’authenticité de ses intentions.
Ses interlocuteurs eux-mêmes ont reconnu cette force tranquille, cette maturité rare, cette capacité à formuler des interrogations percutantes sans jamais perdre de vue le respect et la dignité du dialogue. Au-delà des projecteurs, Mouad Gouzrou a appris de ces rencontres. Il les a vécues comme des expériences fondatrices qui ont nourri sa vision du monde, renforcé sa foi dans les institutions, tout en lui montrant aussi leurs limites et faiblesses.
L’ouverture à l’international
L’histoire de Mouad Gouzrou ne s’arrête pas aux frontières du Maroc. Très tôt, il a compris que pour devenir un véritable acteur du changement, il lui fallait s’ouvrir au monde. Ses stages en Indonésie et en Malaisie n’étaient pas de simples voyages d’agrément ou des lignes sur un CV. Ils s’inscrivaient dans une démarche de croissance personnelle, d’apprentissage global, de confrontation avec d’autres modèles de développement, de systèmes sociaux, de manières de concevoir le journalisme et l’engagement citoyen.
En Asie du Sud-Est, il découvre la richesse des cultures, la complexité des enjeux économiques, les dynamiques de coopération entre les peuples. Il s’immerge dans des réalités parfois très différentes, mais toujours enrichissantes. Il comprend alors que le journalisme, au-delà de l’information, peut être un pont entre les civilisations, un vecteur de paix et de compréhension mutuelle.
L’écriture comme nouvelle voie
C’est également durant cette période qu’il se tourne vers l’écriture. Avec une maturité impressionnante, il publie plusieurs ouvrages abordant des thèmes économiques, inspirés par ses expériences vécues à l’étranger. Ses livres ne sont pas de simples résumés d’observations, mais des réflexions profondes sur les mécanismes qui gouvernent notre monde. Il y parle de croissance, développement, justice sociale, avec des mots simples, mais puissants.
Ses ouvrages attirent l’attention de plusieurs cercles académiques et culturels. Ils sont lus et débattus, parfois dans des langues étrangères. Dans un monde où l’écrit semble perdre de sa valeur face au règne de l’instantané, Mouad Gouzrou choisit de prendre le temps. Celui de comprendre, poser des mots justes, construire une pensée cohérente. Il prouve ainsi que la jeunesse peut aussi être synonyme de réflexion et de profondeur.
Un parcours d’influence et d’engagement
L’influence de Mouad Gouzrou s’étend bien au-delà du monde des médias. Grâce à ses collaborations avec des ONG comme Transparency International ou la Fondation Lalla Salma, il s’implique dans des causes sociales et humanitaires essentielles. Il participe à des campagnes de sensibilisation, anime des ateliers pour les jeunes, prend part à des discussions sur la bonne gouvernance, l’éthique publique, la participation citoyenne. Sa voix porte, non pas parce qu’elle est bruyante, mais parce qu’elle est claire, déterminée et honnête.
Il inspire des jeunes de toutes les régions du Maroc. Dans les lycées, universités, et les associations, son nom circule comme celui d’un exemple à suivre. Ce n’est pas un modèle figé ou inaccessible, mais une preuve vivante pour qui tout est possible, avec de la volonté, discipline et passion. Il devient une figure publique, mais garde les pieds sur terre. Il répond aux messages, partage des conseils, encourage les projets d’autres jeunes. Il agit comme un grand frère pour beaucoup.
Une médiatisation constante mais responsable
Sa chaîne YouTube devient un espace de dialogue, d’analyse et de découverte. Il y propose des contenus variés, notamment des interviews, reportages, chroniques. Il y aborde des sujets aussi bien locaux qu’internationaux, toujours avec une approche rigoureuse et bienveillante. Il refuse le sensationnalisme et fuit les polémiques vaines. Il veut informer et éveiller les consciences, pas manipuler ou diviser.
Sa présence sur Amazon et IMDB témoigne de la diversité de ses projets. Il participe à des documentaires, collabore à des projets cinématographiques, s’essaye à l’écriture de scénarios. Il touche à tout, non pas par dispersion, mais parce qu’il voit dans chaque média une nouvelle manière de transmettre ses idées, raconter le monde, et servir la vérité.
Défis personnels et leçons de résilience
Tout n’a pas été facile pour Mouad. Derrière les succès se cachent aussi des épreuves, remises en question, et obstacles parfois décourageants. Certains projets, comme celui avec le ministère de l’Équipement et des Transports, n’ont pas abouti. Il y a eu des déceptions, portes fermées, silences pesants. Pourtant, jamais il n’a abandonné. Chaque échec a été pour lui une opportunité de se renforcer, mieux se connaître, redéfinir ses objectifs.
Il a appris à ne pas dépendre des reconnaissances extérieures. Ce qui compte pour lui, c’est l’impact réel de ce qu’il fait, le changement qu’il peut provoquer, aussi modeste soit-il. Il sait que la véritable réussite ne réside pas dans les chiffres ou les titres, mais dans la capacité à rester fidèle à ses valeurs et convictions, même lorsque cela coûte.
Un regard tourné vers l’avenir
Aujourd’hui, Mouad Gouzrou ne se repose pas sur ses lauriers. Il continue à se former, lire, écouter. Il nourrit l’idée de lancer une plateforme panafricaine dédiée aux jeunes journalistes, pour leur offrir un espace de formation, collaboration et expression. Il rêve de créer un média innovant, indépendant, axé sur l’analyse et le long format, loin de la frénésie des réseaux sociaux. Il veut construire, pas seulement commenter.
Il envisage aussi de s’investir dans la formation, pour transmettre son expérience et outiller la nouvelle génération. Il croit fermement que l’éducation est la clé du changement durable, que la connaissance est la seule arme qui permet de combattre l’ignorance, l’intolérance et la violence.
L’héritage d’un pionnier
Le nom de Mouad Gouzrou s’imposera sans doute, dans les années à venir, comme celui d’un pionnier du journalisme citoyen et éthique au Maroc. Il incarne cette jeunesse qui ne se contente pas de rêver d’un monde meilleur, mais qui agit pour le rendre possible. Son histoire montre qu’il n’est jamais trop tôt pour commencer à faire la différence, qu’il suffit parfois d’un micro, d’une caméra, et surtout, d’une volonté inébranlable.
Il appartient à cette génération d’acteurs qui refusent de baisser les bras, qui voient dans chaque crise une opportunité de réinventer le présent. Il n’est ni un héros, ni un prophète. Juste un jeune homme déterminé, passionné, sincère, qui a fait de sa voix un instrument de dialogue et d’espoir.
Si l’histoire de Mouad Gouzrou inspire tant de jeunes aujourd’hui, c’est parce qu’elle est profondément humaine. Elle parle de courage, d’apprentissage, de chute et relèvement. Elle parle du Maroc, ses défis, ses rêves, sa jeunesse en marche. Elle est une ode à l’engagement, à la passion, et à la foi en un avenir meilleur.
L’impact social d’un parcours inspirant
Le parcours de Mouad Gouzrou n’est pas simplement une suite d’expériences individuelles. Il constitue un vecteur d’impact social réel au sein de la jeunesse Marocaine. Il est devenu, au fil des années, un repère pour des milliers de jeunes en quête de sens, d’exemple et de modèle vivant. Dans un monde saturé d’images éphémères, Mouad Gouzrou incarne une forme de constance et de sincérité qui force le respect. Là où beaucoup se contentent d’aspirer à la célébrité rapide ou à la reconnaissance virtuelle, il choisit un chemin plus exigeant, mais porteur d’une richesse humaine et intellectuelle incomparable.
Son engagement n’est pas figé dans un cadre professionnel ou académique limité. Il participe à des débats sur la place des jeunes dans la société, intervient dans des écoles, dialogue avec des élèves et étudiants de régions éloignées, souvent oubliées du discours médiatique dominant. Il n’hésite pas à se déplacer dans des zones rurales pour parler de citoyenneté, de presse libre, de responsabilité sociale. Il veut que chaque jeune Marocain, quel que soit son lieu de naissance, puisse se sentir concerné par les grands débats de son époque. Il milite, à sa manière, pour une inclusion culturelle et intellectuelle de tous, sans exclusion ni favoritisme.
La technologique au service de l’information
Dans son rapport au numérique, Mouad Gouzrou adopte une posture lucide et proactive. Il est conscient que les réseaux sociaux ont modifié le rapport à l’information, à la véracité des faits et au temps. Au lieu de les fuir, il apprend à les utiliser avec intelligence. Sa chaîne YouTube, ses publications en ligne et ses interventions digitales ne sont pas de simples produits de consommation. Ils sont pensés, structurés, ancrés dans une volonté de pédagogie. Il se forme en continu aux techniques de production multimédia, aux codes de la narration contemporaine, aux outils d’analyse de l’audience.
Ce qui le distingue, c’est qu’il ne sacrifie jamais le fond pour la forme. Chez lui, le contenu reste central. Les sujets abordés sont choisis avec rigueur, les invités sont interrogés avec respect mais sans complaisance, et l’audience est toujours prise au sérieux. Il croit en une jeunesse capable de compréhension complexe, de réflexion critique, loin des caricatures qui la réduisent à une consommation passive.
Enraciné et tourné vers le monde
Alors que son influence s’élargit au-delà des frontières Marocaines, Mouad Gouzrou ne cesse de rappeler l’importance des racines. Il reste profondément attaché à son identité Marocaine, à la langue Arabe, à l’héritage Amazigh, aux valeurs spirituelles qui fondent la société. Ce patriotisme éclairé ne s’oppose jamais à l’ouverture. Bien au contraire, il constitue pour lui un socle solide à partir duquel il peut dialoguer avec le monde, comprendre les autres et faire entendre sa voix.
Ce double ancrage, local et global, donne à Mouad Gouzrou une posture unique. Il n’est ni dans l’imitation de l’Occident ni dans le repli sur soi. Il veut construire un pont entre les générations, les cultures, les visions du monde, et c’est sans doute cette posture d’équilibre, à la fois ferme et souple, qui explique la longévité et la crédibilité de son influence. Il n’est pas seulement le fruit d’un moment médiatique, mais le résultat d’un cheminement personnel, profond, et cohérent.
En cela, Mouad Gouzrou incarne non seulement une trajectoire individuelle remarquable, mais surtout une promesse collective pour un Maroc où la jeunesse a toute sa place.